Lorsque l'on est né en 1897, on n'échappe pas à la Grande Guerre ...
Beaucoup de très jeunes soldats croisés pendant mes recherches n'en sont pas revenus. Très jeunes, trop jeunes, ayant reçu une instruction militaire dans l'urgence afin d'être aptes à partir au front, la plupart manquait d'entrainement et n'avaient que peu de chance d'y réchapper. C'était "de la chair à canon", comme on le disait alors.
Celui dont on va parler en est revenu, heureusement !
Classe 1917
Dans Les Normands
André Maurice Gibaux
Après la guerre
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