2024

Cécile est un prénom d'origine latine : il dérive de Caecilius, le gentilice d'une illustre famille romaine au IIIe siècle avant JC. Étymologiquement, Caecilius pourrait signifier « aveugle » (du nom d'une sainte Caecula, dérivé de son diminutif caeculus, « myope »), mais aussi, plus vraisemblablement, être issu d'un mot d'origine étrusque et de sens inconnu.
Sa fête est le 22 novembre.

Luc est un prénom masculin venant du latin Lucas, issu de lux (lumière).
Il est fêté le 18 octobre.

Point besoin de présenter Valéry Giscard d'Estaing ... J'ai été très surprise lorsque Généastar m'a indiqué une éventuelle parenté. Je situais sa famille dans le Puy-de-Dôme et n'avais aucune idée de ses racines lozériennes, à Marvejols. J'ai appris beaucoup de choses en rédigeant cet article, notamment la génèse du nom Giscard d'Estaing.

En croisant une nouvelle fois mon arbre sur Généastar, j'ai trouvé des ancêtres communs du côté paternel avec la famille de Ligonnès. Outre "le" personnage bien connu des médias qui y est bien sûr relié, des personnalités intéressantes sont ressorties de cet arbre de parenté. Je vous propose de les découvrir au travers de cet article.

C'est du côté maternel, en remontant jusqu'au 17^ème siècle, que je nous trouve une parenté avec Antoine Béclère, médecin qui fut un des premiers en France à prôner l'utilisation de la radiologie. 

Petite, j'ai été bercée par les Fabulettes d'Anne Sylvestre. Une nouvelle comparaison de mon arbre sur Généastar m'apprend que nous avons des racines communes, par de lointains ancêtres, Jean Chaillet et Lazare Tixier, respectivement mes sosas 830 et 831, qui vivaient dans le village de Marigny au tout début du 18^ème siècle.
C'est l'occasion de parler un peu ici de la vie de ce couple de fermiers sur lesquels je ne m'étais pas encore penchée.

J'ai en ma possession non pas l'orginal mais un scan d'une TRÈS vieille photo de la famille de Johannes Gravesteijn, sosa 56 de mon époux. Cette photo, qui doit dater des années 1870, est fort abimée. Je vais essayer de la faire parler...

Lorsque l'on est né en 1897, on n'échappe pas à la Grande Guerre ... 
Beaucoup de très jeunes soldats croisés pendant mes recherches n'en sont pas revenus. Très jeunes, trop jeunes, ayant reçu une instruction militaire dans l'urgence afin d'être aptes à partir au front, la plupart manquait d'entrainement et n'avaient que peu de chance d'y réchapper. C'était "de la chair à canon", comme on le disait alors.
Celui dont on va parler en est revenu, heureusement !

Je me suis replongée dans ma lignée maternelle depuis quelques temps. Lorque j'ai commencé la généalogie, voici maintenant presque dix ans, j'avais commencé par ce côté de la famille, sur lequel nous avions le plus de documents récents. 
Abandonnée depuis quelques années, l'ascendance de ma mère était truffée d'erreurs de débutant : actes non sourcés, intégration des indices Hérédis sans vérification, incohérences dans les dates ... il y a du boulot !

Je suis en ce moment "perdue" dans le dépouillement des registres paroissiaux du village de Saint-Georges de Lévéjac en Lozère. Et soudain, un acte d'inhumation m'interpelle : "Marie Gazagne femme mariée âgée de treize années ou environ décéda en la foy de l'église ..." 
Vu de notre époque, cela parait incroyable et immoral ... 13 ans, c'est encore un bébé !
Cela m'a donné l'idée d'aller chercher dans mon arbre si ce cas était courant et quelles en étaient les circonstances ...